Matthias Van Khache soutient les amis d’ICCARRE

Matthias Van Khache : Bonsoir, je m’appelle Matthias Van Khache, je suis comédien.

Sandra : Pourquoi êtes-vous venu ce soir ?

Matthias Van Khache : Je suis venu ce soir pour soutenir l’association ICCARRE. Leur projet est très intéressant et qu’il faut se bouger pour que ça se fasse vite et que ça se concrétise pour tous les patients et pas juste pour 200 patients. C’est important de venir soutenir et puis montrer qu’on est là…

Sandra : Vous allez en parler du coup ?

Matthias Van Khache : Oui, oui, j’ai commencé même pendant la soirée à en parler un peu sur Facebook.

Sandra : Super ! Et qu’est-ce que ça vous fait de voir le premier patient…

Matthias Van Khache : Ah Aurèle c’est impressionnant parce qu’en plus il a un discours très percutant donc voilà, se dire qu’il y a un espoir, qu’il faut qu’il y ait un espoir pour tout le monde et pas juste pour effectivement une petite poignée de patient et que les autorités se bougent pour appliquer le protocole à tout le monde. C’est ce que disait le professeur Leibowitch. En très peu de temps, on peut avoir 90% des gens infectés par le VIH sous protocole ICCARRE. Faut juste se bouger maintenant

Sandra : Dernière question, si vous aviez un ami qui vous annonce qu’il est séropositif, quelle serait votre première réaction ?

Matthias Van Khache : J’en ai des amis séropositifs. Il y a quelques années on pleurait, et puis maintenant on pleure mais on se dit qu’il y a un espoir grâce à des gens comme ça, parce que le professeur Leibowitch, des gens d’ICCARRE et puis voilà quoi.

Fin de l’interview

Sandra : Matthias Van Khache au micro de l’émission de radio Vivre avec le VIH. Jacques Leibowitch a donc réussi son coup de pub, je ne sais pas si on peut appeler ça un coup de pub mais un coup de communication.

Yann : Oui, c’est un coup de communication je pense.

Sandra : À la fin en plus il y avait plein de feuilles pour signer la pétition et aussi on pouvait adhérer à l’association ICCARRE. Espérons franchement, si ça améliore la vie des séropositifs, pourquoi pas, je me dis qu’il a bien fait Leibowitch.

Yann : On va faire un suivi. Je vais taquiner Odile Picard pour avoir son avis.

Transcription : Sandra JEAN-PIERRE